Advertentiën en Adressen.
De A. N. W. B. te Domburg.
3> Oroquis hollandais
W. VREEKE, Station, Domburg.
Voor het badseizoen zijn nog te hnnr:
1 kamer
5 kamers
1 kamer
6 kamers en
keuken
1 kamer
1 -
4 kamers
1 kamer
i i
1
2 kamers
5
5 kamers en
keuken
wijn
gaardstr
groentje
badstr.
groentje
wyn-
gaardstr.
I heeren
straat
weverij
straat
id.
ooststr.
id.
badstr.
ooststr.
id.
station
straat
na 16 Aug.
na 1 Sept.
September
na 15 Aug.
na 14 Aug.
ua 14 Aug.
na 17 Aug.
ua 14 Aug.
na 18 Aug.
na 19 Aug.
6 kamers en
keuken weststr.
Huister Duin
(benedenhnis) noordstr. na 18 Aug.
5 kamers markt
1 kamer zuidstr.
1 noordw
2 kamers wyn-
gaardstr
3 kamers en
keuken noordstr.
2 kamers en
keuken duinw.
7 kamers
en keuken badstr.
1 kamer noordw.
September
na 20 Aug.
na 14 Aug.
na 13 Aug.
ua 17 Aug.
September
na 28 Aug.
na 10 Sept.
na 19 Aug.
wed. Pouwer.
S. de Jonge,
wed. de Visser.
A. de Kam.
S. Louwerse.
L. de Voogd.
A. Dourleqn,
C. "Wisse.
P. Louws.
J. Wisse.
J. Vreeke.
H. Dekker,
wed. Franke.
de Wolff,
Middelburg.
J. Pasaenier.
D. H. Scheele.
A. J. Wiesner.
J. Sinke.
wed. Passenier.
wed. Jac. de
Wolf.
wed. Schoonen-
boom.
M. Wisse.
wed. de Visser.
C. Kesteloo.
Stoomtram Walcheren.
Dienstregeling aanvangende 15 Mei 1911.
Vertrek
Domburg.
Aankomst
Middelburg.
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a*
z:
Vertrek
Middelburg.
Aankomst
Domburg
5,05*
6,13
6,16*
6,22*
6,25
7,30
7,40
8,49
8,52
9,20
9,23
10,32
9,15§
10,20§
12,15
12,18
1,27
10,40
11,48
11,51
1,46+
2,40+
1,35
2,43
2,46
2,55
2,58
4,07
2,55+
3,67+
4,26+
5,21+
4,16
5,23
5,26
5,35
5,38
6,47
6,41+
6,35+
8,15
8,18
9,27
6,55
8,—
8,03
11,12*
11,16*
12,18*
9,37
10,45*
10,48*
Van 15 Mei tot en met 15 September,
f Gedurende de maanden Juli en
Augustus.
Alleen des Donderdags.
Wisselkantoor.
Tot wisseling van buitenlandsche munt
speciën bestaat bij den beer H. M. Kesteloo,
ter gemeente-secretarie, gelegenheid tus-
schen 9 en 12 uur voormiddag.
Gevonden voorwerpen.
Een zilveren hoedenspeld; terug te be
komen bij den kastelein Badpaviljoen.
Een bakvischjeshartterug te bekomen
bij een jeugdig Duitscher.
Door plaatsgebrek gedwongen zwegen
wij de vorige week over den tocht der
A. N. W. B'ers van Vlissingen naar Dom
burg; wij kunnen echter niet nalaten daar
van nog met een enkel woord te gewagen,
ware het slechts om de geschiedenis onzer
badplaats, zooals die in de verschillende
jaargangen van het Domburgsch Badnieuws
staat opgeteekend, te completeeren.
Prachtig en bij toeval niet al te
warm weer begunstigde den tocht. Van
de gelegenheid om zich op het Badpavil
joen te laven, werd door vele bondsleden
gebruik gemaakt terwijl anderen meer
voor uitwendige opfrisscbing voelende
leden het uurtje oponthoud benutten
om een bad te nemen.
Na de drukke dagen in Middelburg,
Vlissingen en Folkestone was de pic-nic
in de bosscben achter Berkenbosch een
ware verademing; de lunch (geleverd door
den Heer D. H. Scheele, eigenaar van
het Hotel „Schuttershof" te Domburg)
was zeer goed in orde; onder de deelne
mers heerschte een opgewekte stemming;
onder de boomen was het vergelijkender
wijze gesproken lekker koel, zoodat
alles tezamen genomen de bondsleden
aangename herinneringen zullen hebben
medegenomen aan den tocht naar Domburg
en omstreken.
IV 2336.
Balthazar Klaver, peintre Impressionniste.
Dnrant une heure environ nous causa-
mes, c'est a dire: Balthazar causa. 11
paria peinture et dévoila des théories in-
oubliables sur cette matière, qui me firent
tour a tour palir de terreur et rougir de
honte sur la stupidité dans laquelle j'avais
vécu jusque la. Enfin le maitre voulut
nous montrer son oeuvre. Madame versa
du thé. Balthazar s'assit entre nous deux.
„Mettez vos mains sur mes épaules",
demanda-t-il solennellement, „afin que
je puisse sentir votre confiance en mon
art". Nous fimes ainsi, javais la sensation
qu'une séance spiritiste allait commencer.
Le maitre laissa distraitement pendre la
main dans ma tasse. Je l'avertis prudem-
ment.
„Je constatais déja une certaine chaleur
a la main, mais je n'en cherchais pas la
cause", dit-il avec un sourire aimable,
tandis qu'il étendait les doigts au-dessus
de la tasse pour les faire égoutter. Ou ne
m'offrit pas une autre tasse, ce qui me
parut tres convenable dans un milieu
artistique tel que le ménage de Balthazar.
Celui-ci commen9a a nous montrer, mais
ne cessa pas de parler.
„Je n'ai jamais fréquenté une école,
parcequ'on ne vous y enseigne rien d'im-
portant."
(Ici suivit un traité sur ces institute,
aucune insulte ne leur fut épargnée) „Je
n'ai jamais essayé de faire un dessin. Dans
l'art nouveau on peut même dire que savoir
dessiner est un lest."
II nous mon tra environ cinquante toiles
diverses, puis il recommen^a: „II n'y a
moyen de bien peindre qu'avec la grosse
brosse. Ma femme est tëmoin, je n'en
ai qu'une, la même dont nous nous servions
autrefois pour laver la vaisselle. II me
faut beaucoup de couleur, chacune des
toiles, que je vous montre, en prend plus
d'un kilo. Vous pouvez les peser. Seu-
lement je ne me sers pas de beaucoup de
couleura différentes, pas plus de deux:
une pour le ciel, une pour la terre, (ou la
mer.) Qa suffit. Jamais de palette, mes
couleurs sont dans des pots, elles passent
des pots sur la brosse et de la brosse sur
la toile. J'achète mes couleurs par pots
de dix kilos. Vous voyez combien peu
de cho8es, et vous voyez les résultats."
II montra de nouveau une cinquantaine
de tableaux en se taisant. Son oeuvre
était d'une inexprimable beauté.
„Durant des années je n'ai pas peint",
reprit-il, „j'étais dans une maison par
ticuliere." (II parlait du magasin de
comestibles, et me regarda d'un oeil me*
nafant.)„Mais a peine me fus-je sauvé
de la, que mon ame s'élevait." „Comme
vous voyez," ajouta-t-il, en montrant par
la lucarne les toits des maisons voisines.
II raconta encore que tout son oeuvre ne
lui avait couté que trois semaines de
travail, et la séance était finie.
J'espère, que vous avez eu du plaisir,
et que les fruits de mon imagination et de
mon ame vous ont rendu la foi en l'art,"
dit-il avec cette simplicité, dont les grands
artistes possedent le monopole.
„Je suis ren versé de stupéfaction et
de bonheur," balbutiai-je. Je lui fis mes
adieux, madame me donna a baiser une
main portant des souvenirs encore frais
des pots de couleur a dix kilos. Après
avoir passé au maitre une pièce de cinq
francs, qu'il m'avait démandée avec une
indifférence hautaine, je m'en allai, et
passant par les tortures des corridors et
escaliers branlants j'arrivai sur la terre.
En filant vers ma maison, je regardai le
ciel noir, les rues noires et l'eau noire des
canaux, et je pensai, que la nuit n'avait
même pas deux couleurs: pour peindre la
nuit une aurait suffi a Balthazar. Rentrant
chez moi je me jetai sur mon lit; j'étais
comme décédé a cause des émotions diverses.
Six mois s'écoulèrent. Une jour,
il faisait beau, et je me promenais, je
m'entendis appeler par mon nom. C'était
Balthazar. Mais cette fois un vrai Bal
thazar: un Balthazar en redingote a revers
de satin brillants comme le jour, la figure
fraichement rasée, sous un chapeau haut
de forme si luisant qu'il reflétait les maisons
et les passants comme un miroir. A cóté
de eet homme-la la belle journée d'été me
parut une falsification de mauvais gout.
„C'est toi?" bégayai-je, il se tut en
souriant. „C'est toiP" repris-je, en
balbutiant, „quelle redingote! Quelles
bottines! Quel chapeau! Quelle eravate!
C'est vraiment toi?"
„C'est moi," cria-t-il tout a coup d'une
si haute voix, qu'elle retentit dans la rue
silencieu8e, et fit apparaitre partout des
figures effrayeés devant les fenêtres. Une
vieille dame sur le trottoir s'évanouit
Balthazar me raconta qu'un marchand
de tableaux l'avait „découvert" quelques
jours après ma visite. II travaillait de
puis lors pour l'exportation en Amérique
et gagnait gros
„Un des plus grands critiques," dit-
il „m'a nommé la gloire de la patrie
et le pair de Velasquez et de Vinei. J'ai
fait batir une villa. Mon nom est l'égal
des plus grands. Je fais cinq ou siz ta
bleaux par heure. Je suis tres riche. Je
louerai un coffre-fort a la banque. Mon
art fera école. J'ai beaucoup de disciples,
de domestique8 et de servantes." J'étais
ébloui, je n'osai même pas demander a
eet bomme auguste et solennel de ne pas
confondre avec sa fortune la pièce de cinq
francs laissée dans le grenier du passé.
Je lui serrai la main célèbre, et m'en
allai pour réfléchir au sein de la solitude
sur le destin de l'homme et de l'art
nouveau.
J. Steynen.
Agent: „van Gend Loos".
I. GOUDSWAARD, Bestelhuis Café SCHR1ER, Domburg.
Antiquiteiten (Delftsch Aardew., Porselein, Zilverw.)
W. G. BAL, Middelburg, Krommeweele L 26-27.
G. A. VAN BEIJNUM, Middelburg Segeerstraat H 79.
J. A. WILLEKES DU BOIS, Middelburg, Wal B 42.
Apotheek en Laboratorium.
J. C. VAN DER HARST J.Jz., Firma Dn Beaecee de Ligny
Zoon, Middelburg, Kortedelft G 7.
L. K. VAN DER HARST J.Jz., Middelb.,PottenmarktK412.
M. J. VAN PIENBROEK, Markt C 3, Middelburg.
Badstoelen en Rietwerken.
Hl/an flripl Langeviele K 390, Middelburg.
Vail UI I cl banden-, Bad- en Rietenstoelen Fabrikant.
Besteller.
S. JESAIJES, Comm. S.S., Middelb., interc. telef. no. 7.
Besteller Stoomtram Walcheren, tevens
BIERBOTTELARIJ en handel in MINERALE WATEREN.
Bloemenhandel.
H. BRAND, Singel D 13, Domburg (Sn ij bloemen in vele kleuren),.
A. BLAAS, Middelb., buiten de voormalige Dampoort T 46.
RloPmPnrrmnn7Ün GUYOT, unge Noordstr.L133,
Jl'JclllcIlllldljaZIJIl v/h c j STOMPS. MIDDELBURG.
AFGESNEDEN BLOEMEN. BOUQUETTEN, KRANSEN.,
BLOEMENMANDEN en alles wat tot het vak behoort.
Bekroond met eerste en tweede prijzen in 1908 en 1910.